Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x

PETITION STOP AU P.L.U.

STOP A L’ENQUETE PUBLIQUE
STOP AU RACHAT ABUSIF ET ARBITRAIRE DESDITS 50 PAS GEOMETRIQUES

A l’ensemble des Elus de la Collectivité Territoriale de Saint-Martin,

Tous les secteurs de la population de Saint-Martin, à peu d’exceptions près, sont négativement impactés par le projet de P.L.U. que vous imposez depuis ces derniers mois, sans que vous ayez le courage d’expliquer de façon satisfaisante un certain nombre d’incohérences fondamentales sur le devenir économique de notre île.
Alors que le tourisme est la première activité économique qui devrait faire vivre notre population, votre P.L.U. base ses décisions sur une hypothétique agriculture qui, selon vous seuls, est le pilier de notre économie. Les zones U4 et U5 couvrant le plus important marché de location touristique de luxe de l’île sont directement menacées par l’urbanisation prévue de ces zones. Des décisions caractérisées comme –agricole -verte ou nature- concernent en grande partie les propriétés plus que centenaires des Saint-Martinois, qui ne pourront ni construire, ni investir sur notre héritage ancestral pour assurer la prospérité de nos enfants et de nos familles. Cet héritage constitue l‘essentiel de notre terroir et l’espoir économique de nos jeunes générations obligées de s’exiler en raison de leur exclusion du développement des trente dernières années. En somme, votre P.L.U. ne tient nullement compte de la vocation touristique de l’île, déjà représentée par un tourisme de luxe de grande réputation dans les Terres Basses.
Par ailleurs, la décision d’augmenter considérablement le nombre d’étages dans des villages aussi traditionnels que Marigot et Grand-Case, dénature l’habitat existant qui appartient à la population native et porte atteinte à son attractivité touristique, laissant la porte ouverte à l’expropriation de nos biens, à l’urbanisation des deux seuls centres principaux de vie locale, et donc à l’augmentation de la délinquance et de la criminalité. La densité actuelle de la population (600+ hab/km2) est déjà la plus élevée des îles françaises caribéennes. L’infrastructure du tout-à-l’égout, inadéquate ou inexistante, menace déjà la qualité de vie un peu partout sur l’île et aucune provision pour l’amélioration de cette situation n’existe dans votre projet.
En outre, nous proposons l’annulation, d’une part, des procédures de vente de terrains aux familles qui en sont déjà propriétaires et d’autre part, de la délibération incomplète du conseil exécutif numéro CE 100-3-2015 du 14 avril 2015, fixant le prix de vente des parcelles situées en bordure de mer à 33 et 42.90 euros/m2, alors que l’Etat avait cédé ces parcelles aux ressortissants français au franc symbolique. Ces décisions, de toute évidence, sont de nature abusive et arbitraire.
Votre P.L.U. reflète deux orientations inquiétantes distinctes, d’une part, la protection des nouveaux quartiers résidentiels et l’accroissement programmée des résidents exogènes, et d’autre part, le blocage de l’évolution des nombreux propriétaires natifs dont les terres sont déclassées non constructibles pour les uns et déclarées zones vertes ou naturelles pour les autres, et la destruction de l’industrie touristique de luxe.
Enfin, vous multipliez les communications et les échanges dans les langues parlées sur l’île en période électorale et vous vous vantez de la nature multiculturelle et multilingue de notre société, par conséquent, s’agissant de décisions aussi importantes que celles prises dans votre projet, il aurait fallu respecter nos réalités historiques, ancestrales, culturelles et linguistiques et préserver la rentabilité de nos zones de tourisme de luxe.

NOM PRENOM ADRESSE EMAIL TEL SIGNATURE

PETITION
NO TO THE P.L.U.
NO TO THE PUBLIC INQUIRY
NO TO THE ABUSIVE AND ARBITRARY REPURCHASE OF THE SO CALLED «50 PAS»

To all the elected representatives of the Territorial Collectivity of Saint-Martin,

All sectors of the population of Saint-Martin, with few exceptions, are negatively impacted by the P.L.U. project that you have been imposing for the last months, without having the courage to satisfactorily explain a certain number of basic inconsistent decisions about the economic future of our island.
Whereas tourism is the first economic activity that is supposed to ensure the livelihood of our population, your P.L.U. has based its decisions on a hypothetic agriculture that, according to you only, is the pillar of our economy. Zones U4 and U5 covering the largest luxury vacation market on the island are directly threatened by the planned urbanization of these zones. Decisions characterized as -agriculture– green or nature- largely concern the more than centenary properties of Saint Martin people, who will not be allowed to build or invest on our ancestral inheritance in order to secure the well-being of our children and our families. This inheritance identifies our local reality and the economic hope of our young generations obliged to stay abroad on account of their exclusion from the development of the last thirty years. In short, your P.L.U. totally disregards our tourism-oriented economy, already represented by a renowned luxury tourism industry in the Lowlands.
Besides, the decision to considerably increase the number of floors in villages as traditional as Marigot and Grand-Case, will disfigure the existing housing environment belonging to the native population and tarnish its touristic attraction, leaving the door open to the expropriation of our properties, to the urbanization of our two major centres of local life, and consequently to the increase of delinquency and criminality. The present density of the population (600+ inhab./km2) is already the highest in the French Caribbean islands. The sewage infrastructure, almost inadequate or inexistent, presently endangers the quality of life in many areas, and no provision for the improvement of this situation is made in you project.
In addition, we propose to cancel, on the one hand, the procedures of land sale to families who are already owners of their properties, and on the other hand, the incomplete deliberation made by the executive council number CE 100-3-2015 dated April 14, 2015, setting the sale price of seaside parcels at 33 and 42.90 euros/m2, whereas the State had transferred such parcels to French nationals at the symbolic franc. These decisions are, obviously, abusive and arbitrary.
Your P.L.U. reflects two distinct disturbing trends, on the one hand, the protection of the new residential districts and the planned increase of exogenous residents, and on the other hand, the stalled growth of many native landowners whose properties are declassified as non constructible for some, and declared green or natural areas for others, and the demolishing of the luxury tourism industry.
Finally, communications and exchanges are made in the various languages spoken on the island in electoral times, and you boast of the multicultural and multilingual nature of our society, therefore decisions as important as those made in your project should have taken into account our historical, ancestral, cultural and linguistic realities, and preserve the profitability of our luxury tourism zones.

NAME FIRST NAME ADDRESS EMAIL TEL SIGNATURE

Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x

RADIO FROM VOICEOFTHECARIBBEAN.NET

Vinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.xVinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.x
Vinaora Nivo Slider 3.x